Sous le thème «la libération d’Imazighen & les enjeux de ladétention politique ». MCA section d’Imteghrena organisé de 23 à 26 avril 2008 au sien de la faculté Mouloud Maamri, des journées culturelles qui ont miroité pleinement la réputation de cette mouvance, bien entendu, pacifique et engagée dans le sens clairvoyant du terme.
Durant, presque, toute une semaine de la cérémonie culturelle, les militants de la cause Amazighe n’ont cessé point de dévoiler suffisamment la ruse du pouvoir qui se veut assassin qui vise uniquement à rendre les innocents des coupables aboutissant à trancher qu’il s’agit d’une détention politique par excellence de ses militants porteurs par persuasion l’itinéraire de l’offrande à la deviné, pour un tout qu’est la cause Amazighe.
La première journée culturelle a été marquée primordialement par la présence effective d’un peintre- créateur Mohand SAIDI. Pourtant, ses inventions sous forme des dessins ayant une charge symbolique, dans le premier plan s’agissant d’une somme des messages de sensibilisation et la conscientisation en tout cas des travaux qui ont en faveur de rendre bienveillant les masses populaires amazighes contre un danger énorme déléguer par la silhouette d’un pouvoir illégitime sur le sol de Tamazgha.
Dans le second plan il va s’agir d’une prétention rigoureuse d’arracher un sentiment décevant qui s’est installé par le truck makhzanien en effet faire la commutation de la notion du peur par l’hardiesse (oser faire sans craindre). Sans avoir laisser passer sous le silence d’exposition des livres étayant l’officialisation de l’affaire amazighe sur le nord d’Afrique, ainsi que des CD contenant des chansons engagées et des manifestations contre le mal traitement de l’être amazigh sur le sol de tamazgha en général et au Maroc en particulier. La soirée a été consacrée pour un cercle de débat braqué conformément sur « l’actualité de militantisme démocratique au Maroc ». La vitalité des interventions est sous forme des illustrations chronologiques sur le parcours de militantisme amazigh, révélant qu’il s’inscrit dans le cheminement de l’évolution et de transition. En tout cas les discoureurs anticipent une vision optimiste sur le devenir de Tamazight.
La deuxième journée (24/04/08) a été programmée absolument pour l’exposition d’une conférence sous le titre « les motivations idéologiques et politiques de la détention des amazigh au sein de Tamazgha au sud-est » le conférencier insiste énormément sur le dévoilement des moyens ingénieux opter par le makhzen marocain afin d’opprimer l’écho qui interpelle la réhabilité totale et inconditionnelle du peuple amazigh.
La soirée a été prise comme plate forme en faveur de la révélation que le MCA est une mouvance de dynamisme intellectuelle, elle était et elle sera à la disposition du peuple dans le but de subvenir à leurs besoins.
La troisième journée (25/04/08) a été saisie globalement telle qu’une opportunité idoine au service de concrétiser l’étude d’un recueil intitulé « Taskiwin » de l’écrivain poète Omar derouich. Cette initiative est pour objectif de rendre hommage aux productions artistiques marocaines et amazighienes en particulier.
Midi soirée a été livrée à un entretiens sur la projection d’une interrogation « quelles stratégies pour libérer le peuple Amazigh » le conférencier à l’aide des contributeurs faisaient la quête du stratagème et l’issue permettant la distanciation de la situation délicate dont la masse populaire amazigh souffre en ce lieu-ci.
La soirée a été sanctionnée primordialement pour un cercle de discussion sur « le discours de le M.C.A & les provocations du stade actuel » en effet, les militants succédaient à faire la déconstruction de ses éléments fondateurs abordant à déduire qu’il sera quasi impossible qu’il se reculerait devant un tel phénomène.
Le samedi (26/04/08), c’est la date marquante l’organisation d’une soirée finale engagée ensoleillée par la projection des « isfra » (poèmes produisaient personnellement) ainsi que la mise en scène des pièces du théâtres liées indissolublement à la politique opter par le makhzen assassin (transir le désirs de dire a ne pas réagir). On additionne que l’assistance ont satisfais pleinement du choix des groupes du music qui se veut engagés, nous traiterons pour l’exemple : Amnay & Ouakka viennent de Assif n dades & groupe d’Imnza et groupe Anzegum venant de Tizi n Imnayn ( Goulmima) car leurs chansons incarnaient une réfutation sèche contre le traitement illogique et injustifiable de l’être amazigh au nord d’Afrique.
Les moments de la soirée sont couronnés finalement par la réalisation d’une manifestation sous forme d’une rebelle verbale contestant les insinuations politiques exercées par le gouvernement sur le peuple amazigh qui ne cesse point a résistaient et persistaient jusqu'à l’arrachement de sa liberté et son existence. Cette manifestation a dédié aux délégués d’autres sections, qui ont assistaient les journées culturelles amazighs, la possibilité de s’intervenir et de trancher leurs ressentiments. En plus ils ont décelés l’obligation de la genèse d’une conscience collective basée indispensablement sur (penser discrètement et frapper fortement).
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